Tibet Airlines va ouvrir des routes vers l’Europe

Tibet Airlines envisage de lancer des routes aériennes vers l’Europe dans les cinq ans qui viennent et d’étendre sa flotte à 50 appareils d’ici 2020.

Liu Yanping, Directeur général de cette compagnie aérienne, qui appartient à l’Etat, a déclaré au China Daily que le transporteur envisageait de faire de l’Aéroport Gonggar de Lhasa, où il est basé, « un centre d’aviation qui non seulement relie les différentes parties de la Région Autonome, mais aussi le Tibet et d’autres zones ».

Il a également déclaré que le transporteur voulait faire de Lhasa, capitale de la Région Autonome du Tibet, le pôle aérien de l’Ouest de la Chine.

Le transporteur est une coentreprise d’une valeur de 280 millions de Yuans (41 millions de Dollars US) constitué entre la Tibet Autonomous Region Investment Co Ltd, qui détient 51%, et les sociétés Tibet Sanli Investment et Tibet Ruiyi Investment, qui détiennent respectivement 39% et 10%.

Elle effectuera son premier vol en août de l’année prochaine, quand trois Airbus A319 commandés ce mois-ci seront livrés. « Nous prévoyons d’avoir vingt appareils d’ici 2015 », a dit M. Liu.

En tant que première compagnie aérienne basée au Tibet, le transporteur envisage d’avoir des routes servant la région autonome et les villes principales du pays d’ici 2012.

Les vols vers l’Asie du Sud et l’Asie du Sud-Est sont prévus d’ici 2013.

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Satisfait ou remboursé sur les OpenSkies

Le repas n’était pas à votre goût, le siège était inconfortable? Faites vous rembourser votre billet d’avion ! OpenSkies, jeune compagnie aérienne française spécialisée dans les classes affaires sur des liaisons transatlantiques Paris-New York, Paris – Washington, lance aujourd’hui, et jusqu’au 30 novembre, une campagne marketing inédite, intitulée « Aimez tout ou ne payez rien ».La filiale de British Airways ne craint pas de plomber ses finances avec cette offre audacieuse. Selon elle, près de 97 % de ses clients recommanderaient OpenSkies.

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Air France réfléchit à une offre low cost sur ses vols intérieurs

Air France pourrait bien se lancer dans le low cost. La rumeur est ancienne mais se confirme peu à peu. Pour contrer les compagnies à bas coûts, le groupe envisage de créer sa propre filiale pour ses vols intérieurs, a appris l’AFP jeudi de sources internes à la compagnie.

«Air France Express»

Baptisé en interne «Air France Express», ce projet pourrait voir le jour dès l’année prochaine si des accords sont trouvés avec les syndicats, ont indiqué les mêmes sources. Air France-KLM, qui détient déjà une filiale à bas coûts Transavia, n’a pas souhaité faire de commentaire dans l’immédiat.

«Il y a des réflexions en cours pour trouver un outil qui permette de combattre les compagnies low cost. Parmi les scénarios envisagés, il y a la création d’une nouvelle entité à l’intérieur du groupe Air France-KLM», a cependant expliqué une des sources internes sous couvert de l’anonymat.

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Ryanair menace de supprimer des vols depuis Francfort-Hahn

Après le vote d’une taxe sur les vols en Allemagne, la compagnie low cost veut revoir la fréquentation de ses 50 lignes à partir de l’aéroport de Hahn. Ryanair craint que la taxe, qui ajouterait jusqu’à 45 euros au prix d’un billet d’avion, fasse fuir les passagers vers d’autres aéroports de la Grande Région, a affirmé un porte-parole sur sr-online.

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LOW COST : Pour Ryanair, il y a un pilote de trop dans l’avion

La nouvelle provocation de Michael O’Leary, pdg de Ryanair, risque de ne pas faire rire les passagers de la compagnie aérienne low cost. « Pourquoi conserver deux pilotes dans un avion ?, s’interroge-t-il dans Business Week. Un seul suffit et l’informatique de bord fait le reste. » Très cynique, le patron de la première compagnie européenne poursuit : « Si le pilote a une crise cardiaque, il sonne en cabine et fait venir une hôtesse qui a été préalablement formée pour faire atterrir l’avion. »

Ces propos effarants font suite à une série de déclarations aussi tapageuses que ridicules et techniquement irréalisables. Du genre, ajouter des places dans un avion en faisant voyager des passagers debout, faire payer l’accès aux toilettes, taxer les passagers obèses. Le comble du mauvais goût semble atteint quand il propose un nouveau service affaires long-courrier « fellations comprises ». Michael O’Leary, par ailleurs gestionnaire hors pair d’une compagnie low cost en passe de devenir la première mondiale et considérée comme exemplaire sur le plan de la sécurité des vols et de la formation des équipages, cultive l’art de la provocation qu’il relance régulièrement pour ne pas faire oublier sa compagnie dans les médias. Jim McAuslan, secrétaire général de l’Association des pilotes de ligne britanniques, s’interroge :  » Y a-t-il une limite à son désir de faire de la publicité ? C’est une idée dangereuse. »

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Baromètre des billets d’avion : 99 euros l’aller-retour pour Rome début octobre

L’aller-retour pour Rome, pour un voyage prévu entre le 2 et 9 octobre, perd 35% de sa valeur en un an, ramenant le prix des billets d’avion à 99 euros, selon le dernier baromètre des billets d’avion Go Voyages-Relaxnews. Le trajet pour Prague est également intéressant avec une baisse de 28% et un aller-retour à 118 euros.

Autres baisses notables : Marrakech et Londres qui diminuent, de manière respective, de 25% et 20%.

L’Amérique du Nord enregistre les hausses tarifaires parmi les plus importantes pour un séjour d’une semaine début octobre. Montréal et Los Angeles augmentent respectivement de 18% et 17% sur un an.

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Vols surtaxés au départ de la Suisse

Si vous voulez avoir un billet bon marché pour vous rendre à New Delhi avec Swiss, vous avez avantage à prendre un vol au départ de Bruxelles. Votre voyage aller-retour vous coûtera 400 francs de moins que si vous faisiez le même vol depuis Zurich.

Ce non-sens est dû à la concurrence, expliquent des spécialistes. Si Swiss veut conserver sa part de marché en Belgique, elle doit s’aligner sur les prix de la concurrence. Cette même logique s’applique d’ailleurs également au départ d’autres villes européennes, dont Amsterdam et Paris, a constaté le Tages-Anzeiger. Le quotidien zurichois a donc réclamé des explications à la compagnie helvétique. Le porte-parole, Jean-Claude Donzel, leur a répondu que les passagers doivent payer plus puisqu’ils profitent du confort d’un vol direct. Une explication douteuse si l’on prend l’exemple d’un départ de Genève. Depuis l’aéroport romand, un billet coûte en effet 320 fr. de plus qu’au départ de Bruxelles. Pourtant, les voyageurs de Swiss doivent aussi changer d’avion à Zurich. Où est ici le confort, ou l’économie de temps perdu lors d’une escale, qui motiverait le supplément de prix?

Eviter les vols directs

«Il y a un prix au départ de la Suisse, quelle que soit la ville de départ, explique M. Donzel au téléphone. D’ailleurs c’est une politique pratiquée par la grande majorité des compagnies.»

Ce n’est toutefois pas l’impression qu’on a en simulant des réservations sur le Web. Le sentiment qui y prédomine est qu’on cherche à profiter des clients helvétiques. Pourquoi un voyageur qui s’offre un billet Bruxelles (ou Dublin) – Paris – Delhi sur Air France ne doit-il débourser que l’équivalant de 742 francs, alors qu’un vol Genève – Paris – Delhi se monte à 1059 francs, soit 317 fr. de plus? Certes, Lufthansa semble un peu plus honnête, mais un passager au départ de Genève paiera tout de même quelque 160 euros (210 francs) de plus que son pair partant de Bruxelles pour se rendre dans la grande ville asiatique.

Conclusion: si vous n’êtes pas pressé, vous ferez des économies intéressantes en évitant les vols directs pour vous rendre dans n’importe quel pays lointain. Mais, attention, vous ne pouvez pas prendre un Bruxelles – Zurich – Delhi et ne monter dans l’avion qu’à Zurich. Votre billet perd sa validité si vous n’embarquez pas au départ prévu initialement pour le voyage, c’est-à-dire à Bruxelles.

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Tibet Airlines va ouvrir des routes vers l’Europe

Tibet Airlines envisage de lancer des routes aériennes vers l’Europe dans les cinq ans qui viennent et d’étendre sa flotte à 50 appareils d’ici 2020.

Liu Yanping, Directeur général de cette compagnie aérienne, qui appartient à l’Etat, a déclaré au China Daily que le transporteur envisageait de faire de l’Aéroport Gonggar de Lhasa, où il est basé, « un centre d’aviation qui non seulement relie les différentes parties de la Région Autonome, mais aussi le Tibet et d’autres zones ».

Il a également déclaré que le transporteur voulait faire de Lhasa, capitale de la Région Autonome du Tibet, le pôle aérien de l’Ouest de la Chine.

Le transporteur est une coentreprise d’une valeur de 280 millions de Yuans (41 millions de Dollars US) constitué entre la Tibet Autonomous Region Investment Co Ltd, qui détient 51%, et les sociétés Tibet Sanli Investment et Tibet Ruiyi Investment, qui détiennent respectivement 39% et 10%.

Elle effectuera son premier vol en août de l’année prochaine, quand trois Airbus A319 commandés ce mois-ci seront livrés. « Nous prévoyons d’avoir vingt appareils d’ici 2015 », a dit M. Liu.

En tant que première compagnie aérienne basée au Tibet, le transporteur envisage d’avoir des routes servant la région autonome et les villes principales du pays d’ici 2012.

Les vols vers l’Asie du Sud et l’Asie du Sud-Est sont prévus d’ici 2013.

« Nous espérons avoir des routes directes vers les pays d’Europe d’ici 2015 ou 2016 », a dit M. Liu, qui travaille dans l’industrie de l’aviation civile depuis 25 ans et a été employé par la branche Sud-Ouest d’Air China.

« Nous contribuerons à soulager la pression qui pèse de longue date sur les capacités de transport au Tibet », a dit M. Liu. Il a ajouté que les problèmes que présente la demande en saison creuse « devraient être résolus avec le développement de l’industrie du tourisme au Tibet ».

Jusqu’à présent, six compagnies aériennes opèrent sur seize routes au Tibet, d’après l’Administration de l’Aviation Civile de Chine..

Air China détient plus de 50% des parts de marché, suivie par Sichuan Airlines avec 30%. Le reste est partagé entre China Southern, China Eastern, Shenzhen Airlines et Hainan Airlines.

La région autonome compte cinq aéroports, à Lhasa, Qamdo, Nyingchi, Ngari et Xigaze. Un nouvel aéroport est en construction à Nagqu.

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Fès, cinquième ville marocaine reliée par easyJet de Paris dès cet hiver

Dès le 11 novembre prochain, easyJet ajoutera Fès à la liste des villes marocaines desservies au départ de Paris Charles de Gaulle. En plus de devenir la cinquième ville du Maroc assurée par la compagnie low-cost de la capitale française, Fès s’affichera comme une nouvelle destination du réseau easyJet.

Après Agadir, Casablanca, Marrakech et Tanger, Fès sera desservie par easyJet dès le 11 novembre prochain, à raison de trois vols par semaine (mardi, jeudi et samedi). La ville impériale rejoindra ainsi le réseau du transporteur à bas coût qui jusqu’ici n’y avait jamais posé un appareil.

Les voyageurs peuvent d’ores et déjà acheter leurs billets d’avion pour Fès à 33 euros TTC l’aller simple ou 58 euros l’aller-retour. D’ici mars 2011, easyJet estime que plus de 19.000 passagers devraient bénéficier de cette nouvelle liaison.

En 2009, easyJet a transporté 433.000 voyageurs entre la France et le Maroc.

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Trouver le vol le moins cher

Huit semaines avant le vol, en après-midi : tel est le meilleur moment pour acheter un billet d’avion au meilleur prix. Deux économistes ont déterminé ce moment à l’aide d’une formule mathématique complexe.

A = gUG + min(k – g, (1 – g)(1 – r))

Makoto Watanabe et Marc Möller ont soupesé les avantages liés aux rabais accordés par les transporteurs aux voyageurs qui achètent leurs billets à l’avance et les risques liés aux changements éventuels des plans de voyage des acheteurs.

Un acheteur qui se procure un billet plus de huit semaines avant son départ risque de payer des frais pour modifier son billet, tandis que l’acheteur qui achète son billet moins de huit semaines avant son départ risque de payer plus cher ou de se trouver avec un vol déjà complet.

Quant à la recommandation d’acheter son billet en après-midi, MM. Watanabe et Möller ont déterminé que les voyageurs d’affaires font habituellement leurs achats de vol en avant-midi. En raison de la loi de l’offre et de la demande, les billets sont moins chers en après-midi et en fin de journée pour les touristes.

Le détail de l’étude est publié dans The Economic Journal.

viaVoyage : Trouver le vol le moins cher | Économie | Radio-Canada.ca.